Didier Larue est paysagiste et urbaniste, co-gérant de la société DMLC Bois Rouge ; et co-fondateur de l’Atelier LD basé à Lyon, Paris, Rouen et à La Réunion. Il oeuvre dans le soin de contextualiser et de préserver le vivant. Son approche va expérimen
L’eau est une ressource à sauvegarder et non un déchet à évacuer : Didier Larue nous invite à partager cette démarche, l’eau est une ressource précieuse qu’elle se manifeste par sa surabondance, ou sa rareté.
Une ressource qui, en association avec le végétal, contribue au confort thermique des villes : Ré-investir dans la ville l’association des composantes eau – sol – vivant, qui par leurs intrications & interactions, permettent un meilleur confort de vie et de l’urbain.
Didier Larue nous interpellera aussi sur la nécessaire conjonction de compétences et l’importance du jeu d’acteurs entre les maîtres d’ouvrage et l’équipe de maîtrise d’œuvre, de cet enjeu fondamental d’avoir une approche globale, avec l’habiant.e au centre des préoccupations, et de l’humilité de faire avec l’existant.
Une Bulle que nous ne vous proposons pas par hasard, comme à l’accoutumée : la ressource naturelle qu’est l’eau est l’enjeu vital et géopolitique N°1, l’eau c’est la vie, cet adage peut paraître tellement trivial que souvent cet enjeu est peu ou mal développé.
Alors que comme le souligne Erik Orsenna dans son ouvrage “L’avenir de l’eau”, fruit d’enquêtes menées durant 2 années à travers le monde, « L’eau est le premier de tous les miroirs. Elle nous renvoie au visage nos contradictions. »
4 juin 2020
Merci à Didier Larue de nous avoir fait voyager et vivre cette “Ville poreuse idéale au frais sous sa canopée”, de nous avoir partagé son travail avec l’enthousiasme et l’éloquence qu’on lui connaît.
Il nous l’a rappelé : L’eau est une ressource nécessaire au vivant, un élément fondamental du climat planétaire. Nos modes de vie, de consommation, de construction, de déplacement contribuent à sa raréfaction et à la déstabilisation des équilibres naturels.
C’est une ressource à préserver, qui impacte notre confort et la viabilité de nos villes, et qui, par les aménagements qu’elle amène, est aussi porteuse de mieux-vivre, de beauté, dans les espaces de vie et de rencontres pour les habitants.
Merci de nous avoir emmené sur le fil de ce “chemin de l’eau”, et nous inviter à “penser comme une goutte d’eau” ou encore “penser comme un arbre” comme l’a suggérée une participante.
Avec notamment le retour très inspirant du projet Beauséjour à La Réunion, où c’est le génie du lieu qui a donné son âme au projet urbain et paysager avec une dimension sociétale qui nous touche et qu’exprime très simplement Jocelyn Trulès, directeur général des services « Nous avons décidé que tous les logements devaient avoir une vue sur la mer ou la montagne. Chacun a droit à sa part de bonheur ! »
L’évocation de ce projet urbain et sociétal nous tient particulièrement à cœur : il rassemble des acteurs qui nous sont chers et qui animent nos Bulles : Didier Larue en tant que paysagiste du projet, Christian Charignon l’urbaniste du projet, et Dominique Gauzin-Müller qui a publié le bel ouvrage “Le défi de Beauséjour”… Et le doux rêve que la Scop les 2 Rives caresse depuis de nombreuses années de proposer un voyage d’études tous ensemble à La réunion sur ces thématiques !
*Dans les pays de l’Est Roumanie , Hongrie, Pologne, Russie et aussi en Asie on trouve dans toutes les villes et villages le schéma route avec un fossé +/- large de chaque côté puis des petites passerelle pour rejoindre les trottoirs et les habitations…Il suffit de se balader avec google map dans un de ces pays l’est pour voir cette façon de construire les rues // LIEN
*Très beaux exemples de petits canaux, en pierre, longeant (aujourd’hui encore) les rues de villages dans le Bugey, au Nord-Est d’Ambérieu.
Un exemple de canaux à Douvres (Ain) // LIEN
*Pour imager votre propos alsacien sur les ruisseaux de bords de route // LIEN
*Un exemple (à sec) entrée ouest de Prévessin-Moëns (Pays de Gex, Ain) // LIEN
*Je vous invite à venir vous balader au bord des berges de l’Yzeron à Oullins (pour les voisins lyonnais) qui ont été complètement réaménagées il y a quelques années. Du bitume à une situation beaucoup plus naturelle avec plein d’espèces de plantes différentes. Les oiseaux et les grenouilles s’en donnent à cœur joie !
Le Site du Bishan Park (Singapour) avec l’atelier Dreiseitl
Et Une étude en cours intéressante faite par l’ENGEES sur les coûts-bénéfices des techniques alternatives
*Retrouver un vrai contact entre le ciel, la terre et l’eau
*Comment convaincre ceux qui ne le souhaitent pas, de sortir de leurs canaux souterrains un grand nombre de cours d’eau qui traversent les villes ?
*Quelle anticipation des volumes d’eaux de pluie par rapport au changement climatique qui tendrait en France à diminuer ? Comment assurer l’alimentation des végétaux ?
*Ce modèle est-il envisageable à large échelle en milieu urbain ?
*Le sol des villes est minéralisé par le béton, le goudron et autres revêtements…
*Quelles sont les teneurs en polluants en zone urbaine (métaux lourds, hydrocarbures, huiles, substance fécales…)
*Quelle gestion pour ces espaces désimperméabilisés ? Qui s’en occupe ?
*Que répondre aux élus qui craignent le coût de l’entretien des noues ?
*Quid de la sécheresse des mono-forêts, comme dans les Vosges, dévastées par les skolytes ?
*Certains disent que les noues engendrent une prolifération des moustiques ! c’est vrai ou intox ?
*Le plus efficace c’est de Copier la nature et les techniques ancestrales de quand l’eau était rare… Un arbre évacue 400 litres d’eau par jour !
*Un modèle spécifique pour les climats humides…. mais pour les milieux arides et même semi arides où les pluies sont torrentielles et irrégulières c’est presque impossible
*Comment faut-il dimensionner des filtres plantés pour l’aspect dépollution ? (notamment pour les plateformes logistiques)
*Même en montagne dans les quartiers neufs de station tout part dans les « tuyaux » alors que nous sommes au milieu de la nature, la réponse des élus est « plus facile a déneigé », on aimerait pouvoir mieux défendre l’infiltration…
*Les projets d’agriculture urbaine posent aussi des questions qui rejoignent les différentes dimensions d’intégration paysagère de la gestion des eaux pluviales et contribution aux enjeux climatiques ». Il y a aussi la question de l’arrosage, qui n’en est pas forcément une (cf. Yves Perret : évier à 2 bacs !)
*Peut on stocker l’eau de pluie pour des usages locaux (arrosage, wc, lave linge …) comme les citernes d’autrefois?
*A Strasbourg on commence à poser des plantes grasses, elle couvre bien et demande très peu d’entretien, elles peuvent même se mettre au-dessus d’une tranchée drainante en gravier
*…Comment allons nous faire à Montpellier ? si vous mettez des plantes grasses à Strasbourg ?!
*Les études à Dijon montrent que les îlots de végétation nécessaires pour faire descendre la température urbaine demandent une surface importante, au delà du parc de ville de 5 ha. Comment concilier la densité avec ces résultats ?
*Dans le sud de la France, les pluies sont généralement intenses (volumes d’eau importants sur une période très courte) : quelles sont les solutions paysagères les plus adaptées pour ce cas figure ?
*Le fait d’infiltrer au plus proche de là où la goutte d’eau tombe, il y a moins de ruissellement et l’eau se charge très peu en polluants. Ensuite pour une pollution classique, le sol vivant comme dit auparavant arrive très bien à traiter la pollution résiduelle
*Dans les projets privé et petits pourquoi la plupart de PLU demandent que l’on rejoigne les réseaux EP au lieu de traiter sur place avec les bassins individuels ou les récupérateurs d’eaux, qui sont le plus souvent retoqués au PC
…. *Actuellement en France la réutilisation d’eaux pluviales est interdite il faut demander une dérogation. Mais une nouvelle réglementation sur l’économie circulaire va permettre de réaliser de tel branchement et surtout de les rendre obligatoires pour les nouvelles constructions + réutilisation eaux usées traitées
*L’eau comme lien dans la ville, et mettre en scène l’eau
Penser la ville en intégrant l’eau sur les tracés naturels
Vie sociale, beauté, écologie
*Beauséjour : Le budget « assainissement » est-il comparable à projet classique ?
*Avez-vous vu des projets avec captation/détournement de réseaux hydrographiques existants ?
*« Concevoir ça comme un tout »
*Antananarivo, Madagascar, années 70 pour l’université, L’architecte Roland SIMOUNET faisait déjà son architecture en mettant en scène l’eau de pluie venant des toitures…
*La gestion de l’eau de pluie associée à la trame de parcs et de jardins est une composante essentielle des éco-quartiers
*« Penser comme une goutte d’eau » // penser comme un arbre !
*La cinquième façade de Perret
*Ville dense et ville qui respire !?!
*Et même les zones agricoles (de type agriculture industrielle, sans haies), voir le projet de réhabilitation de River Skjern au Danemark qui a permis de réhabiliter un estuaire et rouvrir des pêcheries artisanales en 2005
*A côté du Zenith de Strasbourg il y a aussi un terrain de foot inondable … et des panneaux explicatifs …!
*Cher Didier, tu es vraiment passionnant, comme d’habitude! Un vrai conteur, didactique et pédagogue, avec des croquis tellement explicites. Bravo !
Vous pourrez retrouver les sujets que nous soulevons durant ce Bulles, dès la rentrée dans le cadre des formations certifiante et labellisées DDQE qui redémarrent :
La formation DDQE est une démarche multi-acteurs, pluridisciplinaire et transversale que nous organisons depuis 2003 dans l’optique de nous préparer à ce fameux monde d’après, en mâtinant les approches écologiques et sociétales, avec nos intervenants
Et en voyage d’étude, qui passe notamment par Tübingen et les écoquartiers dont Didier Larue nous a parlé (Mühlenviertel).
Les Formations en classes virtuelles que nous avons initiées depuis la semaine dernière, en petits groupes et avec des formats d’intervention de ½ journées séquencées, adaptées au distanciel, avant d’avoir le plaisir de se retrouver physiquement à la rentrée !!
(La construction paille, l’humidité dans les parois, le traitement acoustique intérieur, confort d’été & confort, QAI et santé dans les bâtiments performants)
Ainsi que nos formations courtes à partir de la rentrée à Lyon Dijon Strasbourg Paris Caen Nîmes, qui sont extraits, approfondissements ou compléments de nos formations DDQE.
& pour amorcer la rentrée “ensemble et autrement”, un Atelier collaboratif sous forme de Workshop à l’Ecocentre La ferme de Chenèvre dans le Jura, sur le sujet “Réhabilitation performante in situ, de la théorie à la pratique”, début septembre.
Vous pouvez retrouver les dates et lieux des formations dans notre agenda de la Scop les 2 rives, par ici !
A l’eau, à l’eau !
Voilà de bien beaux exemples de ce qui devrait-être l’ordinaire.
Merci à Didier Larue de nous les présenter et d’affiner la compréhension que nous pouvons en avoir.
Pour apporter ma goutte d’eau à l’échange voici quelques notes d’un carnet à écrire sur la question…
Epistémologie :
La physique des solides est historiquement bien plus avancée que la physique des fluides car les militaires ont eu le besoin contondant de comprendre les solides (la trajectoire parabolique du boulet) bien avant les turbulences liquides.
La logique des solides est donc plus développée (utilisée) que la logique des fluides (physiquement et métaphoriquement).
Histoire :
Nous avons brûle les sorcières et ridiculisé les alchimistes (Lavoisier l’était aussi pourtant mais le roman national a zappé ce point)
Ces gens-là travaillaient sur les basses énergies qui sont passées à la trappe de l’histoire avec elles et eux pour installer les pouvoirs contondants (regardez le sort fait aux travaux de Jacques Benvéniste à la fin du XXème….)
Savoirs populaires :
Ridiculisés bien sûr avec ces histoires de salades qui montent si on ne les plante pas à la bonne lune ou ces sourciers qui se baladent sur le terrain avec un boulon de tracteur pendu au bout d’une ficelle à saucisses pour dire où on va creuser un puits
Sans compter ces sources miraculeuses bornant nos géographies
Pour les basses énergies, on ira plus vite en se penchant aussi là-dessus…la jonction d’une partie des sciences contemporaines et d’une partie des savoirs populaires est possible aujourd’hui, occasion féconde d’un dépoussiérage réciproque.
Le syndrome de la cascade :
Un moine zen méditait dans la fraicheur musicale de la cascade toute proche (eau éclatée en mille gerbes sur les rochers luisants, eau nébulisée en gouttelettes tellement fines qu’elles peuvent sembler un gaz). Chacun a pu constater que ce type de lieu a des vertus apaisantes : on y perçoit même le silence des poissons.
Le sourcier :
Pour une maison bio-écolo dans les montagnes du haut beaujolais, on a pu travailler avec le sourcier pour que notre implantation ne coupe pas la circulation du « sang de la terre » (une veine d’eau souterraine) et que crève un arbre centenaire de l’aval pour cause de détournement de sa jugulaire.
Pour cette même maison, on a pu faire couper les bois de charpente à la bonne lune (on obtient des bois peu chargés de sève et les bestioles xylophages aiment surtout l’amidon que la sève contient)
Fleuve :
Sous les ponts passent et repasse la même eau.
Plage :
Mon fils (alors petit) courre prendre un seau d’eau dans la mer et le renverse sur le sable de la plage….l’eau disparait, laissant une trace mouillée…étonné, il se tourne vers Marie et moi pour demander en montrant l’horizon : « pourquoi là-bas, ça ne fuit pas » ?
Transport d’eau :
L’eau coule dans le fleuve mais coulent aussi limons, sable, graviers, cailloux et même parfois rochers (par grosses crues) …coupez ces écoulements minéraux et les plages reculent…et comme en plus la mer monte… ça n’arrange rien.
Coule aussi (moins vite) l’eau située entre le fond du fleuve et la couche géologique imperméable qui est le vrai fond du fleuve. Ce passage est le lieu de la reminéralisation de l’eau qui nous tombe déminéralisée du ciel.
Coule aussi (si on peut dire) le vivant depuis les poissons (mangeur de larves de moustiques) jusqu’aux minuscules micro-organismes qui se blottissent où ils peuvent dans le courant.
Berges :
La vie a besoin de toutes les gradations de profondeurs pour installer complètement ses états, vous pouvez même favoriser son exubérances par des doubles berges.
Gelées :
La glace flotte : heureusement pour la vie aquatique.
Cristallisations sensibles :
Technique pour faire apparaître le degré de vitalité d’une matière vivante.
Dynamisation :
A la bonne heure, on peut dynamiser l’eau pour la rendre plus féconde (techniques de biodynamie)
Vous savez, un chaudron ou un tonneau, une nuit parfois, un balai de genets pour touiller Ça ne vous rappelle rien ?
Gargouille :
Vous ne préférez quand même pas les descentes EP zinc ou PVC…Pire… : les
descentes d’eau centrales planquées !
L’évier à deux trous :
Il a été question de l’évier à deux bacs durant le webinaire,…non…non…Je confirme il s’agit de l’évier à deux trous !
La source :
L’eau sortait fraîche et abondante par la bouche d’un visage joufflu taillée dans la pierre par un sculpteur inconnu ; ce visage trônait sous une arcade, le filet d’eau vive agitait la surface d’un bassin…quelques mousses bien vertes çà et là.Les oiseaux venaient boire…
Rigole :
Ce mot est à remettre en pratique assidue pour la simple raison qu’il est à l’origine du mot « rigoler » (préférez sa version non étanche avec un fond lui-même non lisse)
Fuite :
Pendant une courte période courte historique nous avons fait l’éloge du lisse et de l’étanche. Nous devons à nouveau faire l’éloge de la fuite, de la percolation.
L’infiltration est l’ennemie en des lieux restreints et minoritaires.
Robinets :
Trop de robinets ZET tuyaux dans un logement.
Nous devrons bien expier un jour le fait de faire entrer l’eau dans nos demeures par un Plymouth noir (qui traverse parfois un regard pas fun où est placé le compteur d’eau) : c’est une entrée bien peu architecturale alors qu’elle est vitale
Lectures humides :
Théodor Schwenk : Le chaos sensible
Yvan Illich : H²O
Roger Durand : L’eau et la vie (ce livre fait le point des découvertes actuelles
de nouvelles propriétés de l’eau qui devraient inviter à renouveler vigoureusement nos plomberies et nos « VRD » basées sur des connaissances fin XIX ème, début XX ème ).
Plomberie :
Métaphysique et plomberie sont deux faces d’une même médaille.
Vague :
Une vague, tant qu’elle ne déferle pas ne transporte pas d’eau et se déplace pourtant.
Corps :
Nous sommes surtout faits d’eau
Inondabilité :
On peut construire en terrain inondable pour peu qu’on construise comme si on était en terrain inondable et en tenant compte du type d’inondation !
Nous avons un projet en bord de Loire qui doit être à sa cinq ou sixième inondation et… tout va bien…. On ne se met pas dans un couloir de vent…pas plus que dans un lit majeur !
Urbanisme :
Pourquoi les consignes urbanistiques ne tiennent pas compte de l’hydrographie souterraine (dans cette ignorance-là, on risque de faire de grosses conneries, même pour des aménagements de surface qui impactent toujours le sol profond)
Electricité :
Aujourd’hui le temps est lourd : il y a de l’électricité dans l’air.
L’orage libère son eau, les éclairs libèrent les tensions excessives et tout revient à l’équilibre.
Douches ou bains alors :
Quand vous vous douchez, certes vous vous lavez… mais vous égalisez aussi les micro différences de potentiel électrique à la surface de votre peau…ouais…ça va mieux, vous vous sentez plus légers !
Pluie :
La pluie lave le ciel, vous l’avez sûrement remarqué.
Imperméabilisation des sols :
Pas qu’en ville : non, non ! Les intrants chimiques tueurs d’humus, les semelles de labour liés aux passages répétés d’engins trépidants et trop lourds, l’abattage des arbres de plein champ, l’éradication des haies, le comblement des fossés est finalement aussi efficace (à la longue) qu’un bon vieux goudron tueur d’écrevisses.
Pompons :
Un grand arbre évapore 400 litres / jour par temps chaud mais aide aussi l’infiltration par temps maussade et pluvieux.
Humus :
Nous devons célébrer l’humus…mélange d’eau, d’argile et de matière vivante, terre noire des fées.
Terre végétale :
Si vous avez la place, stockez votre terre végétale en grande surface sous faible épaisseur, ainsi, elle va mourir un peu moins que si vous faites un tas haut suivant l’angle d’écroulement des terres.
Métallerie :
Le zinc et le cuivre sont deux matières qui s’épuisent : économisons et peut-être remplaçons les chaque fois que possible.
Etc…
A suivre…
Yves Perret
Yves Perret nous partage pensées,
poèmes,
dessins
et illustrations
dans cette Bulle d’eau…
bulle de vie !
Lien de téléchargement du dossier compressé : Eau Yves Perret